Une décision qui intervient après des consultations entre plusieurs ministères. Dans l’édition de l’express datant du 19 janvier, une source du gouvernement rapportait d’ailleurs que bien que cet additif alimentaire soit très populaire auprès des Mauriciens, il est jugé dangereux dans certains pays. «Il est clair que nous allons vers l’interdiction de l’ajinomoto», déclarait-elle à l’époque.
Par ailleurs, lors de l’atelier de travail mardi à Balaclava, il a aussi été question de lutter contre l’automédication, et en particulier l’abus d’antibiotiques. Ashit Gungah a également annoncé une révision des lois sur la protection des consommateurs.