« L’objectif est d’optimiser notre outil de production, car d’après nos calculs, après la dernière coupe, il n’y aurait pas eu de sucre dans notre raffinerie à partir de mars. Il est très important que la raffinerie opère en attendant la prochaine coupe », explique Jacques d’Unienville, CEO d’Omicane, en conférence de presse mercredi 9 mars.
Ces 42 000 tonnes de sucre seront raffinées pour être exportées vers de nouveaux marchés en Afrique et en Asie.
Les petits planteurs ont fait part de leurs inquiétudes après cette importation.
« Nous encourageons les planteurs à continuer leur production. Nous voulons être un partenaire industriel fort pour eux. Cette initiative nous le permet », assure Jacques d’Unienville.