Vacoas-Phoenix
Ils estiment que la nouvelle méthode est « rétrograde ». Ils déplorent aussi leurs « mauvaises conditions de travail ». Selon eux, la mairie fait la sourde oreille face à leurs revendications. Ils se sont réunis, le samedi 18 juin, à Vacoas, en compagnie de leur porte-parole, Rama Valayden.
« On a commencé par les empreintes digitales. On nous a ensuite donné un code. Maintenant on réclame notre date de naissance. On ne comprend plus rien. Si on ne le fait pas, on sera appelé à en répondre. La nouvelle méthode ne tient pas compte des réalités dans lesquelles nous travaillons. Nous ne sommes pas en sécurité », déplorent les employés.
La mairie de Vacoas-Phoenix n’a, pour sa part, pas voulu faire de commentaires.