Haro Sur les Boîtes de Nuit Illegals

11 years, 4 months ago - December 20, 2012
Haro Sur les Boîtes de Nuit Illegals
La Tourism Authority (TA) a décidé de mettre de l’ordre dans le night life en ce mois de décembre. Ainsi cet organisme qui s’occupe de l’octroi de permis aux boîtes de nuit et clubs privés estime que plusieurs ne respectent pas la loi.

D’ici peu, certains risquent de recevoir la visite surprise des officiers de la TA.

Plusieurs personnes paient Rs 8 000 aux collectivités locales pour opérer des clubs privés, alors qu’ils gèrent en fait des discothèques, a souligné quelqu’un proche du dossier. Pour preuve, ils restent ouverts jusqu’au matin, jouent de la musique à plein pot et vendent aussi de l’alcool. Récemment la TA a sommé des clubs privés à se mettre en conformité.

Si l’un d’eux n’a pas de permis, un closing order sera émis mais par contre si une boîte de nuit possède le permis mais ne respecte pas les directives, alors des avertissements s’appliqueront. Pour opérer une boîte de nuit, la patente coûte Rs 50 000.

Nouvelles directives

Pour rester ouvert jusqu’à 3 heures du matin et opérer une boîte de nuit, la patente coûte Rs 50 000. Les clubs privés, bars et restaurants sont régis selon des règlements différents.

Le gouvernement vient d’approuver de nouvelles directives selon lesquelles les boîtes de nuit et clubs privés devraient fonctionner.

Il s’agit, entre autres, de la délimitation des emplacements dans les zones touristiques désignées, les centres commerciaux, des complexes commerciaux ou des zones d’affaires et en dehors d’un rayon approprié des zones résidentielles et d’un lieu de culte (400 mètres pour les boîtes de nuit et 200 mètres pour les clubs privés); des lieux sanitaires et parking, salle de contrôle de vidéosurveillance, les mesures de sécurité et les services d’agents de sécurité qui sont autorisés à opérer, il faut avoir une bonne ventilation et un bon éclairage et le bruit ne doit pas être trop fort.

Les opérateurs des boîtes de nuit ont jusqu’à février de l’année prochaine pour se conformer aux nouvelles lois au cas contraire des sanctions seront prises.

Si après ces nouvelles directives les boîtes de nuit et clubs privés ne respectent pas la loi, la TA n’aura d’autre choix que d’infliger une amende ou même de révoquer la licence selon un haut gradé.

 

Text by Le Matinal

We also recommend