Et un budget, a précisé Xavier-Luc Duval, avait même été prévu pour effectuer des recherches.
Et il était convenu, a-t-il poursuivi, que le gouvernement lance un appel d’offres visant à engager une entreprise d’exploitation. Sans compter la mise en place d’un cadre légal pour la protection de l’environnement. «Il fallait aussi établir des critères fiscaux car l’État mauricien doit percevoir un pourcentage sur chaque gallon pompé», a expliqué le leader du PMSD.
Le hic, a-t-il souligné, c’est que le dossier relatif à l’exploitation du pétrole et du gaz est resté bloqué depuis quelque temps. Il a ainsi mis en cause la lenteur administrative. L’ancien ministre des Finances a tenu à rappeler que c’est Ali Mansoor qui s’occupait du dossier. Et ce, jusqu’à ce que le bureau du Premier ministre le lui reprenne.
Selon Xavier-Luc Duval, «les Seychelles sont en avance sur nous». Avant de lancer que si ces derniers étaient à notre place, ils auraient déjà débuté les recherches en ce sens.