Mais, les choses s’étant calmées depuis, on se demande s'il est toujours disposé à faire ses valises. Sans oublier qu’un récent coup d’Etat et une situation politique instable, à Bujumbara, capitale burundaise, semble avoir définitivement compromis ce projet. Cependant, le département d’Etat américain a émis un communiqué pour accueillir officiellement l’ancien ministre des Affaires étrangères à ce poste. A-t-il vraiment accepté ?
Le principal intéressé reste évasif sur la question, mais n’écarte pas cette option. Dans une déclaration à l’express, il explique qu’une telle proposition est «un grand honneur pour Maurice», mais il affirme n’avoir «toujours pas reçu les documents officiels» en ce sens. De plus, il soutient qu’il ne doit être en poste que dans un mois, ce qui lui «laisse du temps».
Ecarté rudement du leadership des Rouges, l’ex-porte-parole travailliste ira-t-il voir si l’herbe est plus verte au Burundi ? La réponse d’ici un mois…