Les employés de Sofitel Imperial se sont remis à la General Workers Federation depuis janvier. «Ils espèrent pouvoir entamer des négociations depuis le début de l’année, mais la direction refuse. Vers le 31 octobre, ils avaient deux choix. Soit entamer une grève, soit aller devant un tribunal. Ils ont préféré la première option», explique le négociateur Jean Yves Chavrimootoo.
Après le vote, les employés seront fixés sur les démarches à suivre. Des officiers du ministère du Travail sont également sur place pour s’assurer du bon déroulement de ces deux jours de vote.