Mais une possibilité s’offre désormais à eux. La TEC étudie, en effet, la possibilité pour eux de complèter leurs études dans une des quatre universités mauriciennes en suivant des cours additionnels.
«Dès que j’ai été nommé à la tête de la TEC, je me suis attaqué à ce problème», souligne le président du conseil d’administration Surendra Bissoondoyal. Il explique que ces cours supplémentaires pourraient durer entre trois mois et un an. Les étudiants devront toutefois débourser une somme additionnelle pour compléter les cours.
Surendra Bissoondoyal a fait ressortir qu’environ quatre des universités étrangères présentes sur le sol mauricien ne fonctionnent pas en conformité avec les règlements de la TEC. «Tout est passé à la loupe», affirme-t-il. Elles seront appelées à revoir leur programme ou plier bagage.
Il cite notamment l’exemple d’une université française qui comptait offrir des cours d’ingénierie au Médine Education Village. Celle-ci a été priée d’informer ses étudiants qu’après les cours à Maurice, ils devront se rendre en France pour compléter leurs études pour être qualifiés en tant qu’ingénieur. «Ce n’est qu’après que cette université a obtempéré à cette demande qu’on va lui donner le feu vert pour opérer à Maurice.»