Il compte faire une déposition à ce sujet à l’Independent Commission against Corruption (ICAC) d’ici le vendredi 19 février.
«J’ai des informations bien précises», a fait valoir Hyder Raman, lors d’une conférence de presse le lundi 15 février. Par exemple, a-t-il soutenu, trois personnes ont été sélectionnées pour avoir un étal alors même qu’elles sont employées dans la fonction publique. Et d’autres encore, qui n’exercent pas comme marchands ambulants, ont obtenu un étal au Ruisseau du Pouce, a-t-il ajouté. Etals qui seraient loués à des prix exorbitants.
Hyder Raman devait, par ailleurs, déplorer le fait que «sur 1300 marchands, seuls 200 ont reçu la lettre concernant le relogement. Le reste des étals sera alloué à ceux qui sont enregistrés comme hawkers». Il précise que ce ne sont pas les sites choisis qui posent problème mais la manière dont l’exercice d’allocation des étals a été mené.
Les marchands ambulants n’excluent pas de manifester dans les rues «si rien n’est fait».