Entre les commentaires moqueurs sur Facebook, certains internautes tentent de défendre les deux ...
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Il nous revient que la brigade des mineurs de la Northern Division a arrêté le jeune homme la semaine dernière sous une charge de «causing child to be sexually abused». Il a depuis été libéré sous caution. Quant à l'adolescente, elle a été interrogée par la police. La Child Development Unit s’est aussi saisie de l’affaire.
La vidéo aurait été tournée en décembre et montre les deux jeunes sous une tente. La fille donne des instructions de vive voix à son petit ami. Elle l’appelle «gat» de manière affectueuse.
Sur Facebook, on peut comprendre qu’à l’époque les deux jeunes entretenaient une liaison amoureuse, mais qu’ils se sont séparés par la suite. Ce clip qui était déjà en circulation via Bluetooth sur les portables de collégiens du Nord a atterri sur le réseau social hier. Les internautes mauriciens ont pu voir le clip partagé des milliers de fois sur Facebook. Un message Whatsapp de la victime pour s’expliquer au sujet du clip a aussi été partagé sur le réseau social.
Dans la foulée, de nombreux commentaires fusent. Entre les propos moqueurs et les plaisanteries de mauvais goût qui se sont multipliés sur le réseau social, certains internautes estiment que cette «erreur» est à mettre sur le compte de la jeunesse des deux protagonistes tandis que d’autres soutiennent qu’ils doivent à présent assumer leur actes.
Cette vidéo agite la Toile et suscite de vives réactions à l’île de La Réunion.
Une mère de famille a cru bon de diffuser en direct sur Facebook la punition qu’elle infligeait à son fils de 16 ans.
Dans la vidéo qui dure 20 minutes, la mère, qui élève seul son fils, reproche à ce dernier un vol qu’il a commis et pour lequel il a été convoqué par la justice.
La jeune femme a diffusé en direct lundi soir 3 octobre sur son compte Facebook cette punition à l’aide d’une ceinture. On entend la femme injurier et malmener verbalement son fils.
La vidéo est devenue virale et la justice réunionnaise s’est saisie de l’affaire. La Réunionnaise a été placée en garde à vue mardi 4 octobre, particulièrement pour «violences aggravées ».