Selon la Tourism Authority (TA), plusieurs pubs opèrent toutefois comme des boîtes de nuit alors qu’ils n’ont pas le permis requis. Ils sont, ainsi, plus d’une cinquantaine à opérer illégalement. Ceux qui ne respectent pas les lois devront payer une amende de Rs 50 000. Il a été constaté que certains propriétaires d’établissements paient Rs 8 000 aux collectivités locales pour opérer un club privé alors qu’ils gèrent une discothèque. Pour preuve, ils restent ouverts jusqu’aux petites heures du matin, jouent de la musique à hauts décibels et vendent aussi des boissons alcoolisées. La TA vient de sommer des clubs privés à se mettre en conformité sinon ils risquent de payer une amende.
Pour opérer une boîte de nuit, la patente coûte Rs 50 000. Elle peut ainsi opérer jusqu’à 3 heures du matin. Club privé, bar et restaurant sont régis selon des règlements différents.
Les boîtes de nuit et les clubs privés doivent suivre certaines directives, entre autres, la délimitation des emplacements dans des zones touristiques désignées, des centres commerciaux, des complexes commerciaux ou des zones d'affaires et à l'extérieur d'un rayon approprié des zones résidentielles et d'un lieu de culte (400 mètres pour les boîtes de nuit et 200 mètres pour les clubs privés). Il est aussi question de places sanitaires et de parkings appropriés, d'une salle de contrôle de vidéosurveillance, de mesures de sécurité et d’un bon système d'éclairage. Si les boîtes de nuit et clubs privés ne respectent pas ces directives, ils seront frappés d’une amende et leur licence risque d’être révoquée.