Du moins, selon l’International Convention on Standards of Training, Certification and Watchkeeping of Seafarers1978. Toutefois, de faux certificats sont en circulation à Maurice.
C’est le ministère des Infrastructures publiques qui a découvert le pot aux roses, lors de la vérification de l’authenticité et de la validité des documents soumis aux administrations maritimes. Cet exercice a lieu avant l’octroi d’un Continuous Certificate of Discharge (Seamen’s Book), qui permet aux travailleurs d’exercer à bord.
Dans un communiqué émis hier, lundi 7 juillet le ministère explique qu’octroyer ces certificats sans en être habilité est punissable par la loi.