Ainsi, le nombre de conseillers par arrondissement passera de trois à quatre. Le nombre total des élus passera donc de 90 à 120.
D’autre part, chaque parti ou alliance qui présentera plus de deux candidats devra s’assurer que plus de deux tiers d’entre eux ne sont pas du même sexe. Le président et les membres d’une institution financée par le gouvernement pourront également faire acte de candidature aux élections municipales ou villageoises.
Par ailleurs, cet amendement autorisera le «transfugisme» : si un élu quitte son parti, il ne perdra pas son siège comme c’est actuellement le cas, sauf s’il démissionne de son poste de conseiller.
Enfin, la loi exigera que les conseils municipaux se réunissent au moins une fois par mois.