Cette option est sérieusement envisagée, confirme-t-on au ministère. Elle permettrait de remettre l’organisme à flot. Elle devrait toutefois entraîner des pertes d’emplois ou un changement de conditions de travail. Cette démarche est donc mal perçue des employés.
Iswardutt Guness, président de l’Union of Employees' Central Water Authority, fait valoir que la question n’a pas été évoquée jusqu’ici entre le syndicat et le ministre.