Cela, après que la Tertiary Education Commission (TEC) a émis une «List of Indicative Priority Fields of Study 2017/2019» (LIPFS), qui fait mention des domaines d’études qui seront les plus demandés dans un proche avenir. Or, l’université basée à Réduit n’offre pas les cours qui y sont mentionnés.
«Nous demandons au vice-chancelier de l’université de prendre en compte le fait que de nombreux jeunes ne trouvent pas de l’emploi une fois diplômés. Ajouter des filières qui seront exploitées à l’avenir ne sera que bénéfique pour ceux qui comptent faire des études. Au lieu de partir à l’étranger où ces cours sont offerts, ils pourront étudier à l’UoM», a déclaré Saahir Goolfee, le président de l’union des étudiants.
Une lettre a, d’ailleurs, été adressée en ce sens au président du Sénat, ainsi qu’au vice-chancelier le 8 mars dernier. «Nous attendons maintenant une réponse au niveau de la direction pour savoir s’ils ont accepté notre demande», ajoute Saahir Goolfee.