“Le port occupe une superficie assez vaste. A des postes où on devrait compter six à sept douaniers, on n’en trouve que deux ou trois. Ainsi, il n’y a pas assez de contrôle sur les conteneurs ou sur les passagers qui entrent au pays”, soutient Vicky Damree, président de la Mauritius Revenue Authority Staff Association. Il nous faut 150 officiers de plus pour que nos frontières soient mieux contrôlées, a-t-il dit.
“Depuis que les week-ends ne sont pas suffisamment rémunérés, des officiers refusent de travailler, alors que le volume de travail augmente. Le port franc est devenu une passoire quant aux marchandises qui y transitent. Depuis l’installation d’un système de surveillance, il y a moins d’intervention des officiers de la douane. On ne sait pas si des produits illicites passent par Maurice”, a-t-il dit.