Conséquence: trois navires n’ont pu accoster Port-Louis car ils ne pouvaient attendre que le temps se calme. Ils ont préféré mettre les voiles pour débarquer leurs conteneurs ailleurs dans la région.
Interrogé hier, mardi 16 février, Gassen Dorsamy, directeur général de la Cargo Handling Corporation Ltd (CHCL), explique que cela ne représente pas de manque à gagner à proprement dit. «Par contre, ce sont des entreprises de la zone franche qui voulaient exporter ou qui attendaient des marchandises qui ont été pénalisées», soutient-il. Et d’ajouter que ce phénomène semble devenir récurrent depuis ces dernières années en raison du changement climatique.
Si ceux travaillant sur les portiques se voient offrir quelques jours de congé après avoir enregistré leur présence, les opérations de livraison de conteneurs se poursuivent à la CHCL en dépit du mauvais temps.