Jack Bizlall, de l’Observatoire de la démocratie, avait plaidé le cas de ces travailleurs au cours d’une réunion avec le ministère du Travail la semaine dernière. En vain.
Ce sont surtout des «cleaners», «security officers», «slot technicians», téléphonistes et «slot cashiers», entre autres, qui sont visés par cet exercice de licenciement.